PRENOM (PRENOM) NOM

feat by : Kristen Stewart

HISTOIRE

(30 lignes minimum) Bien sûr, plus votre personnage sera vieux, plus votre fiche devra être longue.
La forme importe peu, vous pouvez faire ça sous forme de rp, sous forme de journal intime etc. Pour l'écriture, c'est comme vous le sentez, soit à la première personne soit à la troisième personne.

Ce fut lors d’une nuit sombre d’hiver que ce petit être vit le jour. Sa peau était pâle sous ces tâches de sang qui recouvraient pour le moment son petit corps. Les peu de cheveux sur son crane était tellement foncés qu’ils contrastaient énormément avec sa peau. Ses yeux qui se tournèrent vers l’homme qui la portait étaient tellement profonds. Ils semblaient dire déjà tellement de chose alors qu’ils venaient tout juste de s’ouvrir. Un nouvel être était né et il allait se nommer Gwenn. Gwenn comme le blanc de sa peau. Ce nom allait comme un gant à ce flocon de neige. C’était la femme qui lui avait donné la vie qui avait pris cette décision, dans un dernier souffle. Elle n’avait eu le temps de prononcer que ce mot avant de perdre la vie. Gwenn était née en prenant la vie de sa mère et dès lors l’homme, qui la tenait toujours dans ses bras, ne lui laisserait plus rien passer. Son regard était devenu froid au moment où il s’était posé sur sa femme, recouverte de ce drap blanc.

On ne pouvait pas dire que l’enfance de cette fille fut très difficile. Gwenn était la fille d’un noble français et elle avait trois grands frères, Guillaume, Gabriel et Paul. Jean-Eude, leur père, possédait plusieurs domaines et avait une grande fortune. Gwenn, comme ses frères, avait donc eu tous ce qu’elle avait besoin. Une nourrice vraiment très gentille s’occupait d’elle. Elle prenait des leçons avec les professeurs les plus réputés de la région. Et dès qu’elle avait envie de quelque chose, elle l’avait. Parfois ses frères voyaient qu’elle était bien gâtée par leur père, ce qui les rendait jaloux. Surtout l’aîné qui avait bien plus de responsabilité sur le dos. Gwenn avait donc tous pour être heureuse et elle l’était d’ailleurs, mais elle ne pouvait pas s’empêcher de ressentir une pointe de tristesse quand elle croisait le regard de son père. Ce dernier avait quelque chose de sinistre même s’il n’était pas froid. Mais Jean-Eude ne pouvait pas s’empêcher de penser à sa femme quand il voyait sa fille. Chose très peu étonnante quand on voyait à quel point elles se ressemblaient. Gwenn n’avait jamais connu sa mère, mais beaucoup de personne lui parlait d’elle. Ces paroles étaient toujours en bien, cette femme était admirable et surtout adoré de tous. Une seule personne ne mentionnait jamais sa mère en face d’elle, son père. L’homme aimait beaucoup sa fille, personne ne pouvait dire le contraire. Malheureusement, il était encore très affecté par la disparition de sa tendre épouse. Et au fond de lui, il ne pouvait pas s’empêcher de ressentir de l’amertume pour sa fille, qui avait pris la vie de sa mère. Et pour cela, il s’en voulait terriblement.

La jeune gamine qu’elle était devint rapidement une jeune femme au fil des années. Elle avait bien grandit et ressemblait d’autant plus à sa mère. C’était son portrait craché, au point que Jean-Eude ne voyait pas son amertume diminuer. Cependant, il avait bien d’autre chose à s’occuper que sa fille. Les temps commençaient à être un peu durs pour la famille, puisqu’ils avaient quelques soucis avec une famille voisine. Ces derniers désiraient obtenir les terres des Monfort, mais Jean-Eude s’y opposait fermement. Malheureusement, il avait du mal à pouvoir compter sur ses fils. L’ainé et le troisième venait de s’engager dans l’armé et donc n’était pas souvent présent. Cela attristait énormément Gwenn qui était très proche de Guillaume et de Paul. De son côté, elle ne voyait pas vraiment la différence quand son père avait des problèmes ou non. Elle était souvent mise à l’écart, jugé trop jeune et surtout trop femme pour ces affaires. Elle avait donc pris l’habitude de passer une grande journée dans les livres ou sur le clavier de son piano.

Il arrivait cependant qu’elle soit mise à contribution par son père afin de l’accompagner aux bals organisaient pour les personnes de leur rang. Gabriel n’était pas le genre d’homme à apprécier les soirées dansantes, alors il ne venait presque jamais. S’il venait, ce n’était que pour boire à l’œil et draguer les femmes. Gwenn en revanche était toujours ravie d’accompagner son père, même si elle se doutait que quelque part ce dernier lui cherchait un époux. Son âge n’était pas réellement avancé puisqu’elle n’avait que dix-huit ans, mais pour l’époque à cet âge elles étaient déjà promises à un homme. Ce n’était pas Gwenn qui retardait les choses mais bien son père. Ce dernier, malgré la rancœur qu’il avait pour elle, ne se voyait pas accorder sa main à n’importe qui. Il voulait qu’elle épouse quelqu’un d’important aussi bien pour son bien que pour le bien de la famille. Cela serait toujours agréable de renforcer le rang de la famille Monfort. Cependant, chaque jeune homme et homme qu’il rencontrait ne lui plaisait pas. Il en demandait bien trop, sans que sa fille ne se rende compte de quelque chose. Elle savait qu’un jour son père allait lui annoncer ses fiançailles avec un homme, mais elle n’avait aucune idée de la recherche intensive de l’homme. Non, elle préférait largement sa petite vie simple, loin des tracas du quotidien. Gwenn avait l’habitude de planer la plupart du temps, vivant dans son petit monde imaginaire. Si elle en avait eu la possibilité, elle aurait voulu écrire un livre racontant une belle histoire de cape et d’épée, pleine de chevalerie et d’amour.

Plusieurs années passèrent sans que son père ne trouve l’homme qui allait avoir sa main. Ce dernier commençait réellement à s’inquiéter, surtout que les temps étaient de plus en plus durs. La famille venait d’apprendre la mort de Paul au combat. Gwenn allait tous les jours sur sa tombe déposer des fleurs. Guillaume n’avait pas changé d’avis et continuait de servir l’armée, même s’il faisait l’effort de passer le plus de temps possible avec sa famille. Un soir, Gwenn se rendit avec son père à l’un de ces fameux bals dansants. Comme d’habitude, elle salua les hôtes ainsi que quelques invités qu’elle avait l’habitude de voir. Elle échangeait quelques pas de danse avec son père, avant que ce dernier ne retrouve ses compagnons. Ensuite, elle passait de partenaire à partenaire un peu aux grés des envies. Elle connaissait presque tout le monde à présent.

Cependant un soir, elle fut surprise de croiser un homme qu’elle n’avait encore jamais eu l’occasion de voir avant. Elle fut immédiatement attirée par sa beauté et ce qu’il dégageait, sans pour autant savoir qui il était. Le début de la soirée se passa normalement, Gwenn dansant d’abord avec son père et ensuite ses partenaires habituels. Alors qu’elle s’était posé dans un coin en compagnie d’une amie, afin de se reposer un peu, l’inconnu vint à sa rencontre pour lui demander une danse. Elle hésita un instant mais fini par accepté. Ce fut un moment bref et tellement intense à la fois. La soirée terminée, Gwenn ne put s’empêcher de penser à cet homme alors qu’elle ne connaissait même pas son prénom. Ils ne s’étaient échangés que quelques mots seulement. Elle espérait avoir l’occasion de le revoir et ce fut le cas.

Après avoir eu l’occasion de se revoir lors de soirées dansantes, les jeunes gens se virent également en dehors. Edward était un anglais venu passer quelques mois chez sa tante française vivant proche de chez les Monfort. Gwenn appréciait énormément les moments qu’ils passaient ensemble. Cependant, son père ne voyait pas se rapprochement d’un très bon œil. Il n’avait aucune envie que sa fille s’attache à un anglais et encore moins à quelqu’un qui n’arrangerait en rien les affaires de la famille. Malheureusement, il n’arrivait pas à trouver un prétendant à sa fille. La situation changea cependant quand le rival de Jean-Eude proposa un accord entre leur famille. Il était simple, Gwenn devait épouser son cadet et lui ne chercherait plus à prendre ses terres. C’était un marché très tendant pour l’homme même s’il devait ravaler sa fierté et faire épouser sa fille à un membre de cette idiote famille. Mais cela arrangerait grandement sa famille. La décision fut donc prise et l’homme annonça la nouvelle à Gwenn. Cette dernière eut un choque en apprenant que son père voulait lui faire épouser ce porc. Elle tenta de le convaincre qu’elle était follement amoureuse d’Edward et qu’elle voulait faire sa vie avec lui. Mais Jean-Eude avait pris sa décision et rien ne pouvait lui faire changer d’avis.

Les deux amoureux prirent donc la décision de fuir ensemble en Angleterre. Gwenn sortit de chez elle en pleine nuit pour retrouver Edward et ils commencèrent leur route. Malheureusement, ils ne purent aller bien loin avant de se faire rattraper par Gabriel. L’homme avait eu vent des plants de sa sœur et n’avait aucunement l’intention de la laisser faire. Edward tenta d’empêcher sa bien-aimée de se faire emporter par son frère, mais Gabriel le transperça de son épée. Le laissant se vider de son sang ainsi, il emporta sa jeune sœur afin qu’elle se retrouve devant son père. Gwenn n’avait aucune idée de ce qui était pire, la vision de l’homme qu’elle aimait en train de mourir sans pouvoir faire quoi que ce soit, ou les coups que lui donnait son père. L’homme était en train de lâcher complètement la rancœur qu’il gardait au fond de son cœur depuis tellement d’année. Après avoir châtié sa fille, il prit la décision de la faire quitter ce pays et surtout sa vie. Il n’avait plus aucune envie de la voir. Il demanda donc à son fils d’aller la vendre à un marchand d’esclave, qu’il fit sans souci. Gwenn tenta tant bien que mal d’appeler à la compassion de son frère mais ce dernier resta de marbre. Elle pleura sur son sort et sur l’absence de Guillaume qui ne l’aurait pas laissé faire lui.

Les choses s’étaient tellement accélérée pour la jeune femme qu’elle ne savait plus vraiment ce qu’elle avait vécu entre sa vente et le moment où elle était installé, avec tellement d’autre personne, dans la cale d’un bateau. La plupart des autres esclaves n’étaient pas des membres de la noblesse et donc elle faisait tâche. Mais les marchands avaient bien l’intention de gagner un beau paquet d’argent sur son dos. Le trajet dura de longues semaines, Gwenn n’avait plus aucune notion du temps. Elle n’avait aucune idée du moment où ils allaient enfin arriver et pouvoir sortir de cet enfer, pour en retrouver certainement un autre. Tellement d’autre esclave était mort, c’était affreux. Mais le bateau n’arriva jamais à destination. Une nuit, une tempête se déclencha. L’un des marchands descendit dans la cale pour récupérer certains esclaves, ceux qui avaient plus de valeur, afin de les faire monter dans les barques. Mais à peine Gwenn avait posé le pied dehors, profitant une seconde de l’air frais, une vague submergea le navire et l’emporta dans l’eau.

Gwenn avait perdu connaissance dans ces vagues qui l’avaient emporté et quand elle se réveilla, elle découvrit qu’elle avait atterris sur une île. Au début, elle crut à un cauchemar. Elle tenta de se persuader que toute cette histoire n’était qu’un rêve, qu’elle se trouvait au fond de son lit dans sa maison et qu’elle allait pouvoir bientôt revoir Edward. Mais le cauchemar était bien réel, elle n’eut pas d’autre choix que de se faire à l’idée. Gwenn entreprit d’explorer un peu l’île à la recherche d’un abri ou de quelque chose à manger et surtout à boire. Mais la tâche fut bien plus difficile qu’elle ne pensait. En même temps, comment une fille qui avait toujours tous eu dans sa vie pouvait se débrouiller dans un endroit désert. Elle n’avait aucune idée de la présence ou non d’individu, elle n’avait pour le moment croisé personne. Quelques jours passèrent sans qu’elle ne parvienne à réaliser ses objectifs. Son état était déjà pitoyable avec son séjour dans la cale de ce bateau qu’il ne lui fallait pas beaucoup plus pour être vraiment mal. La fièvre commença à la prendre, accompagnée par des hallucinations. Gwenn n’avait aucune idée du temps qu’elle avait passé avec sa fièvre et surtout les images venant de son imaginaire. Elle n’arrivait plus à distinguer le réelle du faux. Pourtant une voix et un visage lui semblaient si présents, si proches. Elle crut vraiment qu’elle allait mourir, mais ce ne fut pas le cas du tout.

Quand elle ouvrit ses yeux un matin, elle se sentit étrangement bien. Elle remarqua de suite qu’elle n’avait plus de fièvre, elle était même étrangement froide. Et pourtant, elle voyait bien qu’elle ne ressemblait plus du tout à ce qu’elle était avant. Elle crut à un rêve de nouveau, mais ce visage apparu devant ses yeux. C’était un homme, ou du moins il en avait l’apparence. La jeune femme eut du mal à comprendre ce qui était en train de se passer, du moins ce qu’il venait d’arriver. Elle n’était plus humaine, ce fut cet homme qui le lui dit. Il l’avait transformé en vampire. Complètement perdu, Gwenn n’eut surement pas la réaction que le vampire attendait d’elle. Elle ne savait encore rien sur ce qu’elle était à présent, mais elle en voulu à cet homme d’avoir ainsi choisit son destin pour elle. Il était comme son père avec son idiot de mariage. Alors qu’Hadès était certainement près à lui expliquer sa nouvelle vie, Gwenn ne voulut rien entendre. Elle repoussa l’homme et se mit à courir encore et encore.

Elle n’avait aucune idée de combien de temps ses jambes avaient couru comme cela, sans jamais qu’elle ne se fatigue. Elle ne s’arrêta que quand elle distingua la silhouette d’une autre personne devant elle. Elle se trouvait loin et pourtant, elle la voyait sans aucun souci. Gwenn ne savait pas si elle devait s’approcher d’elle, mais elle le fit quand même. Cette personne, qui avait l’apparence d’une jeune femme, se nommait Phèdre. La jeune vampire eut bien du mal à comprendre ce qu’elle tentait de lui expliquer, les sorcières et autres créatures. C’était tellement compliqué et surtout tellement irréelle. Mais Gwenn devait bien se l’avouer, elle ne ressemblait plus du tout à la jeune humaine qu’elle était encore la veille. Il y avait cette soif qui lui brulait la gorge dès qu’elle y pensait. Phèdre fut un très bon guide, elle lui permit d’apprendre tous ce qu’elle avait à savoir et surtout à l’aider à se débrouiller toute seule. Elle lui fit découvrir des joies aussi qu’elle n’avait pas eu l’occasion de savourer dans sa vie d’humaine.

Le temps passa encore, sans que jamais une ride ne tache le visage de Gwenn. Elle avait tellement gagnée en devenant un vampire mais aussi tellement perdu. Elle devait vivre l’éternité avec les images de son passé la hantant. Mais à côté de cela, elle goutait au plaisir de la vie de luxure. L’île où elle vivait à présent évolua également ainsi que ses habitants. La vampire assista à cela. Quand elle eut la possibilité, elle prit la direction de la bibliothèque. Elle était devenue une créature assoiffée de sang, elle restait la même. Elle aimait toujours autant les livres et se plaisait dans ce monde.

CARACTERE

Un minimum de 10 lignes demandé. Soyez imaginatifs, décrivez tout ce que vous pouvez : son physique, certaines de ses réactions, etc...

Gwenn est une vampire disons plutôt calme. Elle aime passer du temps dans sa bibliothèque, tranquille à lire des livres. C’est une grande rêveuse, qui aime se plonger dans une histoire pendant des heures. Il lui arrive d’avoir des absences, complètement plongée dans ses pensées.

Le jour, elle passa pour une personne douce et avenante envers les autres même si on remarque rapidement qu’il y a une part d’ombre en elle. Elle n’hésitera pas à aider son prochain s’il le faut. Elle est discrète et timide. Par contre la nuit le monstre qui se cache en elle sort. Elle devient alors sanguinaire et cède à ses pulsions d’animal.

Elle a eu beaucoup de mal à accepter sa condition de vampire. Elle s’est bien rendu compte que grâce à cela, elle était encore en vie. Mais pendant un moment elle aurait préféré mourir plutôt que d’être ce monstre. De toute façon, elle n’avait plus aucune raison de vivre. Mais au fil des années et grâce à une de ses connaissances, elle a appris les bons côtés de ce monstre qu’elle possède. Elle se libère plus facilement, cédant à la tentation de la chair et du sang. Elle est bien plus dévergondée que quand elle était humaine.

Gwenn fait attention à son image sans trop y accorder de l’importance quand même. Elle tente d’être jolie au quotidien et de ne pas se laisser aller. Même quand elle assouvit une pulsion meurtrière.

DERIERRE L'ECRAN

Je suis : Gwenn j'ai 24 ans. Voilà maintenant 7 ans que je fais du Rp. Je compte passer le reste de ma vie parmi vous. J'ai trouvé le forum grâce à : mes connaissances. Si je devais décrire le forum je dirais qu'il est tout simplement super. Mon visage ressemble étrangement à Kristen Stewart. J'ai bien lu votre règlement, d’ailleurs le code est validé Mon dernier mot, c'est prout.